Suitai Suru
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 Suzuki Kana

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I'm Suzuki Kana
Suzuki Kana
« Hataraki »


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MessageSujet: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 14:18

I. profile

Nom : Suzuki
Prénom : Kana
Avatar : Hyo Min
Âge : 18 ans
Date de naissance : 3 juillet 1991
Lieu de naissance : Tokyo
Nationalité : Japonaise
Année & matière : 1ère année LEA
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Hatakari
Vacant : Oui

II. personality

Caractère : Je n’ai jamais eu qu’un seul modèle dans la vie. Mon frère. Et croyez-moi avoir comme unique référence Suzuki Minoru ça a de sérieuse répercussion sur le mental. Surtout quand votre modèle se fait la malle, emportant avec lui tous vos points de repère. Je pourrais me mentir en me disant que ce que je suis, je ne le dois qu’à moi seule, mais je sais bien au fond de moi que, sans même s’en rendre compte, il a construit la plus grand partie de mon caractère. Par certain côté je lui ressemble, j’ai appris de lui l’égoïsme, l’indifférence et le flegme face à ce qui ne m’intéresse pas, l’assurance apparente, la verve. J’ai appris à paraitre forte et détachée de tout ce qui m’entourent. Mes mots sont mes armes, mes seules armes et parfois, il est vrai, j’en abuse, je crache à la gueule du monde tout ce qui me passe par la tête, sans réfléchir, sans prendre de gants. Je suis une langue de pute, agressive qui se défend comme elle le peut. Et pourtant je ne suis pas méchante, pas vraiment. Apprenez à me connaitre et vous verrez l’autre facette de ma personnalité, l’autre pendant de ma franchisse, celle qui me fait dire sans honte aux gens que j’aime, à quel point je les aime.
En générale mes fréquentations ont du mal à me comprendre. Lunatique, je peux passer du rire aux larmes sans même que vous ayez eu le temps de dire ouf. Capricieuse enfant immature, j’attends du monde qu’il me donne ce que je veux, tout en sachant pertinemment que je serais déçu. Parce que le monde est mal fait et que je ne crois plus en lui. Je ne crois plus en rien. C’est peut-être pour ça que je suis en colère contre tellement de chose. Contre mon frère tout d’abord, contre le reste du monde en suite.
Certain décrirait mon caractère en disant que je suis entière. Peut-être qu’ils ont raison. Je n’accepte pas les compromis ou la demi-mesure, je suis exigeante et volontaire. Je crois que je vis en dehors de la réalité, parce qu’elle ne me plait pas. La réalité est triste et morne quand je voudrais qu’elle soit belle et pleine de couleur. Prisonnière de mes illusions je refuse d’ouvrir les yeux sur ce qui m’entoure. Je n’accepte pas les critiques, les reproches, les remis en question. C’est peut-être autre chose que j’ai appris de mon frère : la prétention. La modestie n’a jamais été un trait de caractère très développé dans la famille. Que voulez vous c’est quand même plus sain de s’aimer comme on est, plutôt que se maudire tous les jours en se voyant dans le miroir. C’est vrai qu’au vue du portrait que je viens de tracer, on pourrait se demander ce que j’aime chez moi, et oui peut-être que la liste de mes défauts est longue mais j’ai aussi des qualités, faut pas croire ! Fondamentalement je suis gentille, je peux même me montrer adorable si je considère que vous le méritez. Je suis égoïste certes, mais mon bonheur passe par celui de ceux qui me sont proche, c’est pourquoi je suis loyale et prête à beaucoup pour protéger ce qui me sont cher. Contrairement à ce que certain pourrait croire, je ne suis pas totalement stupide même si l’intelligence n’est pas la première chose que je mets en avant chez moi. Je suis d’un naturel plutôt joyeux, j’aime faire la fête, parler, rire, etc.… En somme quand on oublie tout mes petits défauts, il n’y a pas de raison de ne pas m’aimer…

Qualités : Intelligente, loyale, ouverte, adorable parfois, naturellement joyeuse, persévérante, intègre,…

Défauts : Capricieuse, égoïste, prétentieuse, manque de réflexion, colérique, lunatique,…

Goûts :J’aime chanter, danser, être avec mes amis, j’aime les bonbons, les ours en peluche et les contes pour enfant. J’aime les soirées calme et aussi celles où je me mets la tête à l’envers. J’aime tester mes limites, les trouver, les dépasser. J’aime rire. J’aime lire. J’aime embrasser des inconnues dans la rue, courir sous la pluie, me blottir sous ma couette. Je n’aime pas passer des examens, être remis en question, faire des concessions. Je n’aime pas la tomate et les histoires qui finissent mal. Je n’aime pas les garçons et pourtant je les aime quand même. Je n’aime pas mon frère et pourtant je l’aime quand même. Je n’aime pas les gens niais, le bruit des feux d’artifice, le goût du dentifrice. J’aime et déteste trop de chose pour pouvoir vous les dire et dans le fond cela n’a pas vraiment d’importance.

III. history

Famille :un père, une belle mère, une mère et un frère.
Histoire :

-Tu vas où ?
-Je vais voir Jae Hyun.
-Je peux venir avec toi ?
-Non.

La porte se referme. La petite fille reste seule. Désemparée. Elle regarde ce grand morceau de bois qu’on vient de lui claquer à la gueule et elle a terriblement envie de pleurer. Elle sait pourtant que ça ne sert à rien, parce qu’il n’y a personne pour se soucier de ses larmes. Alors elle reste juste là, plantée comme une conne à attendre le retour de son héros. Celui-là même qui vient de partir sans se retourner. Celui-là même qui ne s’intéresse déjà plus à elle. Mais les minutes passent et la porte reste désespérément close. Alors la petite fille tourne les talons et regagne sa chambre. Assis sur le parquet, elle attrape ses jouets et s’invente une histoire. Une belle histoire, bien plus belle que la sienne. Une histoire dont l’héroïne forte et fière n’a besoin de personne pour être heureuse. Une histoire où les gens ne l’abandonne pas. Mais le jeu semble fade, ridicule, pitoyable. Et les larmes viennent quand même. Recroquevillée sur le sol froid, la petite fille pleure et pleure encore. Elle espère surement, au fond d’elle-même, que quelqu’un, n’importe qui, viendra la consoler. Sauf que personne ne vient. Et elle n’a bientôt plus assez d’eau dans le corps pour continuer à pleurer. Alors elle se calme, essuie ses joues, efface toutes traces de son désarroi, et reprend le cours de sa vie comme si rien ne s’était passé. La journée s’écoule, monotone, triste, ennuyeuse. Le soir tombe et avec lui le héros revient. Il gravit les escaliers, rejoins la petite fille et, pour elle, c’est aussi beau que le jour de Noël. Il s’assoit à côté d’elle, dans cette chambre qui ne lui parait, tout d’un coup, plus si froide et il lui raconte sa journée. Ou du moins, une partie. Elle, elle l’écoute, les yeux remplit d’admiration. C’est encore mieux que les contes pour enfants que lui lit parfois sa mère. Il lui arrive tellement de chose à son grand frère adorée, là, juste en bas de chez eux, quand il sort dans la rue. C’est parce qu’il est formidable, alors c’est normal que sa vie soit pleine d’aventure. Elle ne sait pas si tout ce qu’il raconte est vrai. Peut-être n’est-ce qu’un gros mensonge. Peut-être qu’en réalité il n’est pas aussi formidable que ce qu’il dit. Peut-être que dehors il n’a pas toujours le beau rôle. Mais ça n’a pas d’importance. Parce que même si c’est faux, il a quand même pris la peine de lui inventer tout ça. Pour elle. Rien que pour elle. En bas une voix résonne, leur dit de descendre. C’est l’heure de manger. Et toute la famille se retrouve. Papa, maman et les deux enfants. C’est parfait. Tout est parfait. Alors la petite fille oublie ses larmes, oublie son après-midi passé toute seule dans sa chambre, oublie son frère qui ne veut pas d’elle. La petite fille ferme les yeux et se persuade que tout va bien dans le meilleur des mondes. La petite fille pardonne.
Pauvre petite conne.

[...]

-Minoru !
La petite fille court au milieu de la rue, Ses nattes brunes tressautent dans son dos, son sac butte contre sa jambe. Elle a un sourire stupide accroché au visage, le même qu’elle a toujours quand elle voit son frère. Les deux garçons après qui elle court ne se retournent pas, ne s’arrêtent pas. Mais ce n’est pas grave, il en faut plus pour la dissuader. Elle finit par les rejoindre, attrape le bras de son frère, le force à la regarder. Elle sourit aux deux amis. Echange de politesse minable, deux, trois phrases, histoire de faire la conversation mais déjà les garçons s’impatientent. Ils ont d’autre chose à faire que de perdre leur temps avec une gamine. La petite fille les laisse partir. Elle est heureuse. Elle aurait voulu aller avec eux mais tant pis. Au moins ils lui ont parlé. Le Coréen lui a même sourit. Stupide gamine. Elle croit être amoureuse. Le meilleur ami de son frère, celui avec qui il passe tout son temps. Ce serait tellement pratique. En réalité elle ne le connait pas vraiment et elle ne sera jamais à ses yeux que la petite sœur de Minoru. Pourtant elle ne peut pas empêcher son imagination de partir en vrille à ce sujet. Elle se met à croire à une histoire possible. Elle et lui qui se retrouvent à parler, sans son frère à leur côté. Ils se découvrent des points communs, s’amusent, s’apprécient, apprennent à se connaitre et s’aiment au final, quand il réalise qu’elle n’est pas juste la petit Suzuki. Après tout il est mignon, la moitié de ses copines craquent sur lui. Parfois même, elle s’amuse à leurs faire croire qu’elle le connait très bien, qu’ils sont proches, que ce n’est pas qu’un ami de son frère. Mais au final c’est ce qu’il est. Même si elle ne veut pas se l’avouer, c’est d’ailleurs pour ça qu’elle croit l’aimer. Bien sur elle le justifie en se disant que Minoru est tellement formidable qu’il ne peut avoir que des amis exceptionnels. Si elle était honnête avec elle-même, elle réaliserait qu’elle ne veut de lui que pour pouvoir encore faire partie du monde de son ainé. Déjà les deux adolescents disparaissent au coin de la rue et la petite fille, tout à ses rêveries romantiques, rentre chez elle. Seule. Lorsqu’elle pousse la porte de la maison, elle est accueillie par une cacophonie de hurlement. Encore et toujours les mêmes hurlements. Ce qui reflètent la réalité de la vie. Ce qui lui montrent que l’amour ça n’est pas vrai, qu’elle ferait mieux d’arrêter d’espérer maintenant avant d’être déçu par la suite. Et la petite fille reste interdite, figée sur place comme si on l’avait transformée en statut de pierre. Elle aimerait débouler dans la pièce et se mettre à hurler avec eux, leur dire qu’ils sont pitoyables, qu’ils devraient avoir honte. Leur dire à quel point elle souffre de voir ce qu’est devenu leur amour. Mais elle ne fait rien. Elle enlève ses chaussures, les range doucement, sans faire de bruit pour ne pas qu’ils sachent qu’elle est là. S’ils se rendre compte de sa présence, alors ils remettront le masque, ils feront de nouveau semblant d’être heureux et cette attitude est, à ses yeux, la plus répugnante de toute. Elle déteste qu’on lui mente. La petite fille va se réfugier dans sa chambre. Roulée en boule sous sa couette, elle attend que l’orage passe, elle attend que la vaisselle arrête de voler dans la pièce d’en dessous, elle attend que quelqu’un vienne s’occuper d’elle. Mais personne ne vient et la colère se mélange à la tristesse. Alors qu’au fond de son cœur elle attend le retour de son héro.
Pauvre petite conne.

[...]

-Tu fais quoi ?… Tu peux pas partir !… Maman !

La petite fille s’époumone en vain parce que comme à chaque fois tout le monde s’en fout. En réalité tout le monde aimerait bien qu’elle ferme sa grande gueule et qu’elle arrête de geindre comme une gamine. Masi elle ne s’en rend pas compte, elle ne veut pas se rendre compte. Elle court derrière la voiture qui emmène au loin la femme qui la mise au monde. On dirait un chien qui court après la voiture du facteur. On lui accorde autant d’importance. Et la petite fille s’écroule au milieu de la route, frappant le goudron de ses petits poings ridicules. Des larmes, toujours des larmes, qui coulent sur ces joues, mais aujourd’hui ce ne sont plus les mêmes, c’est sa rage qui s’échappe goute à goute de ses yeux. Elle finit par se redresser. Le dos droit, l’allure fière, le visage humide, elle regagne le seuil de la demeure familiale. Une connerie de plus. S’il n’y a plus de famille comment pourrait-il y avoir une demeure familiale ? La petite fille dévisage son père et son regard n’a jamais été aussi dur. Elle ne dit rien, le dévisage seulement, provocatrice, et crache à ses pieds. La gifle part trop vite pour qu’elle l’esquive. La douleur renforce sa colère. Elle bouscule l’homme qui lui fait face et qu’aujourd’hui elle hait de toutes ses forces. Enfermée dans sa chambre, elle n’attend plus personne. Mais son héros finit par rentrer. Il vient frapper à sa porte, essaye de la faire sortir. Et tout d’un coup elle le hait lui aussi. Lui qui n’est jamais là quand elle en a besoin. Lui qui semble indifférent à tout ce qui l’entoure. Lui qui ne l’a pas aidé. Lui qui ne pense qu’à son stupide ami. D’ailleurs celui-là aussi elle le déteste, il aurait mieux fallu qu’il reste en Corée. Elle le déteste parce qu’il lui a volé son frère. Parce qu’il est plus important qu’elle à ses yeux. Parce que lui non plus ne s’intéresse pas à elle. En faite à cet instant précis, elle déteste la terre entière. Son père qui a trompé sa mère, la maitresse de son père qui s’est tapée un homme marié, sa mère qui s’est barrée avec l’argenterie sans même lui accorder un regard, ses amis qui ne comprennent rien à ce qu’elle ressent, les gens en général qui sont heureux alors que sa vie prend l’eau de toute part. La petite fille se précipite sur la porte et l’ouvre violemment. Sa main attrape le premier objet qui passe à sa portée et le jette vers son frère. Et un autre. Et encore un autre. Elle hurle, pleure, frappe, tout ça en même temps, sans lui laisser le temps de réagir. Puis referme la porte et s’écroule contre le battant.
La petite fille va devenir grande.

[...]

-Salut.
Le héros de sa vie est, lui aussi, entrain de se faire la malle et la petite fille à l’impression de revivre encore et toujours la même scène. Elle est la debout sur le palier de cette porte et les gens qu’elle aime s’en vont sans même se retourner. Elle sert les poings, reste droite, attend qu’il ne soit plus visible, pour se rendre à l’évidence : Lui aussi il l’abandonne. Son frère, son grand frère, le seul qui n’ait jamais compté. A côté d’elle, il ne reste que les deux responsables de ce désastre. Son père qui ne pense qu’avec sa queue, la preuve il a sauté sur la première jeunette qui à croisé son chemin. Sa belle-mère, cette connasse superficielle qui n’a jamais du utilisé le cerveau qu’on lui a offert à la naissance. C’est à cause d’elle que Minoru est parti, la petite fille en est persuadée parce que depuis qu’elle est là, la vie est devenue un enfer dans cette maison. Et elle ne va rien faire pour que ça s’arrange. C’est une promesse qu’elle se fait à elle-même. Elle jette un regard noir à la femme qui semble si heureuse à sa gauche et se jure qu’elle lui fera bouffer ce sourire.
Cette petite fille, c’est moi.

[...]

Ces souvenirs, c’est ma façon à moi de résumer les premières années de ma vie. Une suite ininterrompue d’espoirs et de désillusions. Un putain de mensonge. Une mascarade permanente où chacun joue un rôle sans prendre la peine de m’expliquer les règles. Parce que, oui, tout ça c’était que du vent. La famille parfaite, le calme idyllique, le grand frère bienveillant. Des conneries. Ça n’existe pas dans la vraie vie. On vous fait croire que si, mais c’est faux. Il suffit de grandir pour s’en rendre compte. Parce que le temps passe et que le grand frère fait de moins en moins attention à la petite chose énervante qui lui tourne-s’en arrêt autour. Parce que le temps passe et que la petite fille pardonne de moins en moins à celui qui l’abandonne. Elle arrête d’être naïve, stupide, pitoyable et elle ouvre les yeux. Je suis devenue grande et j’ai appris toute seule les règles de ce jeu que vous appelez la vie. Chaque être humain sur cette terre est égoïste. Vivre pour soi même, sans ce soucier de ce que ressentent les gens qui vous aiment, c’est ça devenir grand. C’est ce que m’a appris mon frère. Alors on dit « merci grand frère » et on passe à autre chose. Si seulement c’était si simple. Mais on ne se débarrasse pas du héros de son enfance en claquant des doigts. Petite j’ai placé Minoru sur un piédestal et malgré sa connerie monumentale je n’arrive pas toujours à l’en faire descendre. Pourtant il a tout fait pour. Ça fait trois ans qu’il est parti et depuis ce jour je n’ai pas eu une seule nouvelle. Rien. Que dalle. Nada. Et pour ça je le déteste de toutes mes forces. Un coup de fil ça ne l’aurait pourtant pas tué. Mais non, monsieur doit être trop occupé dans son université pour minable et psychopathe. Trop occupé pour venir me voir, pour me défendre quand l’autre connasse m’enfermait dans ma chambre pour me punir d’une connerie que j’avais faite. Trop occupé pour me consoler le jour où j’ai compris que je m’étais fait dépuceler par un connard qui n’aimait que mon cul. Trop occupé pour venir me chercher la fois où, tellement ivre, je n’ai pas réussi à retrouver le chemin de la maison. Trop occupé pour me dire que ça valait la peine de croire en quelque chose. Je te déteste Minoru et crois moi je vais me faire un joie de te le faire comprendre. Si tu ne viens pas à Kana, Kana viendra à toi. Aujourd’hui c’est moi qui tourne le dos à cette porte sans me retourner, derrière moi je traine une valise trop grande pour moi qui contient toutes mes affaires. Je n’ai pas prévu de revenir. Aujourd’hui je par pour Gyokuseki. Alors tiens toi bien, grand frère adoré, je vais te montrer que la petite fille est devenue grande !



IV. me

Prénom : on a qu’à dire Gertrude pour les intimes
Pseudo : Non, Gertrude ça me suffit.
Âge : 20 ans
Sexe : non référencé
Comment avez vous connu le forum : Ahah ! it’s secret !
Fréquence de connexion : au moins une fois par jour normalement.
Votre niveau de rp : j’ai du mal à me juger moi-même donc…
Code d'activation : Ok par Mayuko
Un mot en plus ? : Spaghetti ??


Dernière édition par Suzuki Kana le Mar 13 Déc - 0:01, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 15:29

Bienvenue Kana ! Bonne chance pour (la fin de) ta fiche ! :1:
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I'm Kim Jae Hyun
Kim Jae Hyun
« Shikei Akai ; admin »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 15:37

    Welcome ! n__n
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Invité


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 16:42

Bienvenue et bon courage pour ta fiche =)
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I'm Invité
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Invité


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 16:48

Bienvenue !

Bonne chance pour ta fiche ! =D ...J'hallucine ou tu es la soeur de l'autre ? è_é *PAN*
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I'm Suzuki Kana
Suzuki Kana
« Hataraki »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 18:19

Merci \o/

Et oui Hana je suis la sœur de l'autre comme tu dis ^^ je sens qu'il a tout plein d'ami mon grand frère adoré =p
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 19:14

Bienvenue ! o/
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I'm Murazaki Aya
Murazaki Aya
« Shikei Akai ; modo »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 19:15

Bien sur qu'il en a des amis ^^!
Bienvenue et bon courage pour le reste de la fiche o/
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 20:57

Murazaki Aya a écrit:
Bien sur qu'il en a des amis ^^!

Cherche sous les grosses pierres.
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 21:14

Welcome !
Bon courage pour ta fiche . ^^
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 22:06

    Han Hyo Min!! *O*

    Bienvenue miss et bonne chance pour la suite de ta fiche! ^^
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I'm Invité
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyDim 11 Déc - 22:19

    Nan mais son frère il est cool \o/
    C'est mon coloc \o/ /sort/

    Bienvenue sinon ^^ Suzuki Kana 721147
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I'm Invité
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyLun 12 Déc - 17:55

Bienvenue demoiselle :D
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I'm Kim Jae Ha
Kim Jae Ha
« Tsuujou ; fondateur »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyLun 12 Déc - 18:18

Bienvenue & bon courage pour ta fiche ! =)
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I'm Invité
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyLun 12 Déc - 18:48

Takuya, je te love ! ;o; Il dit que je suis cool, il est trop sympa, lui !

Oh, my, sister ! Welcome ! Dans mes braaaaaaaaaaaaaaaaas !
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I'm Invité
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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyLun 12 Déc - 20:37

Bah ui Minouchat, tu es cool quoique tu en dise, faut juste creuser un peu la glace ^^
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I'm Suzuki Kana
Suzuki Kana
« Hataraki »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyLun 12 Déc - 21:33

Non il est pas cool, il m'a abandonné u_u méchant Minoru !!

Merci à tous ^^
normalement je devrais finir l'histoire ce soir (si tout va bien) \o/
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I'm Suzuki Kana
Suzuki Kana
« Hataraki »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyMar 13 Déc - 0:00

désolé pour le double post, c'est juste pour dire que normalement j'ai fini. \o/
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I'm Kim Jae Hyun
Kim Jae Hyun
« Shikei Akai ; admin »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyMar 13 Déc - 17:57

Le "crétin" d'ami vient donc valider ta fiche ! Bref, rien à redire, si ce n'est que j'ai aimé la manière dont tu as raconté ton histoire. 'Fin, donc je t'invite à aller demander un club, à créer ta fiche de lien (ou notre lien va devoir se discuter, oh oui !) et ton répondeur.
Amuse toi bien sur S&S et ENJOY !
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I'm Suzuki Kana
Suzuki Kana
« Hataraki »


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MessageSujet: Re: Suzuki Kana   Suzuki Kana EmptyMar 13 Déc - 22:26

merci crétin d'ami \o/
je m'en vais faire tout ça de ce pas et je t'enverrais un petit mp histoire de discuter de ce lien ^^
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Suzuki Kana

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